La révolution Sarkozy

Nicolas Sarkozy

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Meeting du 18 Mars 2007

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Le gouvernement FILLON

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Le secrétaire général de l'Élysée Claude Guéant a proclamé vendredi matin la liste des quinze ministres et que quatre secrétaires d'Etat du gouvernement de François Fillon. En voici la liste intégrale.

 
Alain Juppé : Ministre d'Etat, ministre de l'écologie, du développement et de l'aménagement durable
 
Jean-Louis Borloo : Ministre de l'économie, des finances et de l'emploi
 
Michèle Alliot-Marie : Ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités locales
 
Bernard Kouchner (PS) : Ministre des affaires étrangères et européennes
 
Brice Hortefeux : Ministre de l'immigration, de l'intégration, de l'identité nationale et du codéveloppement
 
Rachida Dati : Ministre de la justice
 
Xavier Bertrand : Ministre du travail, des relations sociales et de la solidarité
 
Xavier Darcos : Ministre de l'éducation nationale
 
Valérie Pecresse : Ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche
 
Hervé Morin (UDF) : Ministre de la défense
 
Roselyne Bachelot : Ministre de la santé, de la jeunesse et des sports
 
Christine Boutin : Ministre du logement et de la ville
 
Christine Lagarde : Ministre de l'agriculture et de la pêche
 
Christine Albanel : Ministre de la culture et de la communication, porte-parole du gouvernement
 
Eric Woerth : Ministre du budget, des comptes publics et de la fonction publique
 
Roger Karoutchi : Secrétaire d'Etat chargé des relations avec le Parlement, auprès du premier ministre
 
Eric Besson (ex-PS) : Secrétaire d'Etat à la prospective et évaluation des politiques publiques, auprès du premier ministre
 
Dominique Bussereau : Secrétaire d'Etat aux transports, auprès du ministre de l'écologie, du développement et de l'aménagement durable
 
Jean-Pierre Jouyet : Secrétaire d'Etat aux affaires européennes, auprès du ministre des affaires étrangères et européennes
 
Hors gouvernement
 
Martin Hirsch, 43 ans, président d'Emmaüs-France, est nommé haut commissaire aux solidarités actives contre les pauvretés.

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NICOLAS SARKOZY PRESIDENT

Sarkozy président ! C'était loin d'être gagné il y a un an pour le candidat de l'UMP mais depuis le congrès du 14 janvier dernier, porte de Versailles, il a fait la course en tête dans les sondages, grâce à une campagne menée au pas de charge et une stratégie gagnante qu'il a pensée depuis longtemps, souvent contre l'avis de ses amis. C'est donc sans surprise qu'il succède à Jacques Chirac. "Sarko", comme l'appellent ses amis ou adversaires, devient, à 52 ans, le sixième chef de l'Etat de la Ve République française.

Avec un tel score, le candidat de la droite a réussi à mobiliser très largement au-delà de ses 31,18% du premier tour. Il est parvenu à convaincre une grosse partie des électeurs de Jean-Marie Le Pen et de François Bayrou. Avec une victoire aussi large, le candidat UMP aura fait totalement échec au "TSS", le "Tout Sauf Sarkozy" tenté par la gauche. Durant la dernière semaine de campagne, les attaques de Ségolène Royal contre un candidat "dangereux" pour la démocratie et la paix civile n'auront eu aucun effet. Sa pugnacité lors du débat de second-tour n'aura pas fait bouger les lignes dans l'opinion.

Militants UMP : "On a gagné !"

A 17 heures, Nicolas Sarkozy a rejoint son QG de campagne de la rue d'Enghien à Paris. Le candidat UMP, souriant et détendu, a fendu la foule en distribuant quelques poignées de main rapides avant de pénétrer dans l'immeuble. Un peu plus tard l'ont rejoint ses principaux collaborateurs, puis Rachida Dati, sa porte-parole, Simone Veil, Michèle Alliot-Marie, mais aussi le socialiste Eric Besson et très applaudi, Johnny Hallyday qui assurera l'animation un peu plus tard place de la Concorde. A quelques kilomètres de là, dans une salle Gaveau pleine à craquer, plus de 3000 militants commençaient déjà à savourer la victoire, aux cris de "on a gagné".

20h15
- C'est à eux que Nicolas Sarkozy a réservé sa première déclaration officielle. Visiblement ému, il a promis d'être "le président de tous les Français" et lancé son premier message de chef de l'Etat élu aux partenaires européens de la France et aux Etats-Unis. Il a remercié les millions de Français qui lui ont "témoigné de leur confiance" et lui ont fait ce "grand honneur" en le "jugeant digne de présider la France".

21h00 - Après avoir fait sa première déclaration de président, Nicolas Sarkozy a quitté la salle Gaveau en Vel Satis, poursuivi par de nombreux caméramen à motos. Il a ensuite fait une halte  au Fouquet's, avenue des Champs-Elysées. Une "grande fête populaire" à sa victoire est organisée un peu plus loin, place de la Concorde.

Royal : "Je continue avec vous"

18h00 - Dans l'autre camp, c'est la tristesse des perdants. Ségolène Royal, qui avait voté en milieu de journée dans son fief de Melle, dans les Deux-Sèvres, est arrivée à son QG de campagne parisien, sur le boulevard Saint-Germain. La candidate PS, qui avait été précédée par des membres de son état-major de campagne, Arnaud Montebourg et Vincent Peillon notamment, n'a fait aucune déclaration. Une foule d'une centaine de personnes, journalistes et badauds mélangés l'attendaient massés derrière des barrières métallique.

19h00 - Rue de Solférino, au siège du PS, la plupart des dirigeants s'étaient retrouvés vers pour un bureau exceptionnel réuni par François Hollande. Devant, des centaines de militants étaient réunis, brandissant des portraits de Ségolène Royal et chantant, malgré pour beaucoup la certitude d'une écrasante défaite. Au milieu de la foule, on a pu apercevoir, la mine triste, Thomas Hollande, qui a été à chaque instant de la campagne le principal confident de sa mère candidate.

20h15 - La candidate socialiste a pris la parole très tôt, après l'annonce des résultats. Ségolène Royal a reconnu sa défaite face à Nicolas Sarkozy, en affirmant que "quelque chose s'est levé qui ne s'arrêtera pas". Elle a par ailleurs "souhaité au prochain président de la République d'accomplir sa mission au service de tous les Français", quelques minutes après l'annonce de sa défaite. Elle a déclaré qu'elle "assumerait la responsabilité qui lui incombe désormais", ajoutant pour ses électeurs: "je continue avec vous et près de vous".

20h40 - Malgré sa défaite, Ségolène Royal arborait un large sourire et s'est rendu au siège du PS, rue de Solférino. Perchée sur le toit de l'immeuble, elle a salué la foule de militants qui l'acclamait. Très énergique, micro en mains, elle a demandé à ses partisans de "continuer le combat".

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10 RAISONS DE NE PAS VOTER POUR SEGOLENE ROYAL

1. Elle a une vision très manichéenne des choses : après l'annonce par Nicolas Sarkozy de son intention d'engager la construction d'un 2e porte-avions, la candidate socialiste déclare qu'elle préfère l'Education nationale (on doit pouvoir faire les deux ...) ; idem quand, en visite dans un supermarché, elle indique vouloir incarner une société où la « présence humaine » serait renforcée en supprimant des postes de vigiles pour les remplacer par des postes de caissières (là encore, on doit pouvoir faire les deux).

2. Elle a une vision des rapports politiques fondée sur la guerre civile et le sectarisme : elle refuse de serrer la main de Françoise de Panafieu sous prétexte que cette dernière a critiqué ses positions sur le Proche-Orient ; elle refuse de saluer Christian Patriat au Salon de l'agriculture sous prétexte qu'il serait proche de la droite ; en visite aux Antilles, elle dénonce « une lecture révisionniste de l'histoire, dont une certaine droite s'est fait une spécialité » ; elle refuse de dialoguer avec le responsable des ressources humaines du supermarché Champion qu'elle visite au motif qu'elle ne souhaite parler qu'au « nouveau prolétariat féminin » (les caissières).

3. Elle n'est pas une femme indépendante des groupes de pression : rappelons que la candidate socialiste est conseillée sur les questions de justice par l'ancien président d'un syndicat de magistrats (l'USM), sur les questions de sécurité par l'actuel président d'un syndicat de policiers (l'UNSA) et sur les questions d'environnement par l'ancien président d'un groupe de pression international (Greenpeace).

4. Elle pratique un antiaméricanisme primaire : en décembre 2006, en visite au Liban, elle indique « partager beaucoup de choses, notamment l'analyse du rôle des Etats-Unis » avec un député du Hezbollah comparant les Etats-Unis avec le régime nazi. A la sortie de la réunion, elle justifiait la tenue de cette réunion par sa volonté de dialoguer « avec tous les parlementaires ou toutes les autorités démocratiquement représentatives ». Quelques mois plus tard, en avril 2007, elle indique en revanche qu'elle ne sera pas celle « qui ira serrer la main de George Bush comme si de rien n'était ».

5. Elle a une grille de lecture de la société extrêmement datée : comme Jospin en 2002, elle propose d'aller encore plus loin dans le partage du travail avec la généralisation des 35h et la création d'emplois massivement financés par les fonds publics pour lutter contre le chômage, la culture de l'excuse pour lutter contre la délinquance.

6. Elle ne cesse de reporter les problèmes sans jamais les régler : soit elle appelle à un moratoire (sur la culture des OGM ou le réacteur EPR par exemple) ; soit elle recycle un vieux concept en lui offrant un nouveau nom. Les emplois jeunes deviennent des emplois tremplins, la police de proximité devient la police de quartier, les réunions publiques deviennent des débats participatifs ...

7. Elle propose souvent des solutions approximatives et imprécises : ainsi avec le Smic à 1.500 euros dont on ne savait pas s'il devait s'entendre en valeur brute ou nette. Quelques jours avant le premier tour, la candidate socialiste précise qu'il s'agit d'un montant « net », avant que son attachée de presse indique qu'il fallait en fait comprendre « brut ». Ainsi aussi avec son contrat première chance pour les jeunes, qui a été annoncé pour durer un an, puis trois mois, puis de nouveau un an, puis étendu aux plus de cinquante ans, etc.

8. Elle n'hésite pas à asséner des contre-vérités manifestes : ainsi affirme-t-elle que les impôts n'ont pas augmenté en Poitou-Charentes alors qu'elle les a relevés de 27% en 2005 ; elle affirme également que la gauche a construit plus de logement sociaux que la droite alors que depuis 30 ans on n'a jamais construit autant de logements sociaux que depuis 2002 ; elle affirme encore que la délinquance a progressé en France depuis 2002 alors que les chiffres démontrent une baisse de 10%.

9. Elle n'arrive pas à distinguer le combat d'idées des attaques sur les personnes : ainsi la candidate socialiste accuse-t-elle la droite « de ne pas avoir de principes » (le 20 avril sur France-Inter), puis à nouveau d'être une droite « dure, agressive, sans principes, sans vertu républicaines, arrogante, qui dit tout et son contraire » (meeting à Paris le 6 février 2007) et dont le projet de société « recèle de la brutalité, de la violence et de la guerre civile » (meeting à Belfort le 13 avril). De même Nicolas Sarkozy devient un « menteur prêt à tout », qui « ne respecte pas les règles démocratiques », et « un menteur est-il apte à devenir Président de la République ? » (le 3 avril sur Canal +). Il n'aurait également « d'autre ambition que de prendre le pouvoir » (meeting à Besançon le 12 avril).

10. Elle est dure et cassante avec ceux qui ont fini par la quitter : interrogée par les journalistes sur sa réaction à la démission d'Eric Besson, la candidate socialiste répond par un méprisant « Mais qui connaît M. Besson ? ».

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Resultat premier tour

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Procuration, mode d'emploi

Nous sommes maintenant a 15 jours du premier tour des présidentielles, et beaucoup d'entre vous se pose la question:

Je ne suis pas chez moi au moment des élections, comment dois je proceder pour donner ma procuration?

Et bien voici un rappel de la demarche a suivre ainsi qu'un rappel des dates:

Le vote par procuration permet de se faire représenter, le jour d'une élection, par un électeur de son choix. Cette démarche est gratuite.          

 

RAPPEL DES DATES

Election présidentielle
Samedi 21 avril : premier tour aux Antilles, à Saint-Pierre et Miquelon, en Guyane, en Polynésie française, dans les ambassades et établissements consulaires du continent américain.

Dimanche 22 avril : premier tour en Métropole, à la Réunion, Mayotte et en Nouvelle Calédonie.

Samedi 5 mai : second tour aux Antilles, à Saint-Pierre et Miquelon, en Guyane, en Polynésie française, dans les ambassades et établissements consulaires du continent américain.

Dimanche 6 mai : second  tour en Métropole, à la Réunion, Mayotte et en Nouvelle Calédonie.

Elections législatives
Dimanche 10 juin : premier tour
Dimanche 17 juin : second tour


VOUS POUVEZ VOTER PAR PROCURATION SI :

-    des obligations professionnelles vous empêchent de vous rendre dans vote bureau de vote le jour du scrutin ;
- si votre état de santé, un handicap, ou l’assistance à une personne malade ou infirme ne vous permette pas de vous déplacer ;
-    vous suivez d’une formation vous tenant éloigné(e) de votre résidence ;
-    vous quittez votre résidence pour prendre des vacances ;
-    vous êtes inscrit(e) sur les listes électorales d’une autre commune que celle de votre résidence actuelle.


QUI PEUT VOTER A MA PLACE ?

Toute personne inscrit(e) dans votre commune mais pas obligatoirement dans le même bureau de vote.
Attention : un même électeur ne peut détenir plus de deux procurations (dont une seule établie en France) ou deux procurations établies à l'étranger.

Si vous ne connaissez personne dans votre commune susceptible de voter à votre place, n’hésitez pas à contacter la permanence UMP de votre département. Nous vous aiderons dans cette démarche.

 

A QUI DOIS-JE M’ADRESSER ?

Vous devez vous rendre en personne:

•    au tribunal d'instance du lieu de votre résidence ou de votre lieu de travail,

ou

•    au commissariat de police ou la brigade de gendarmerie du lieu de votre résidence ou votre lieu de travail,

Si vous résidez à l'étranger, à l'ambassade ou au consulat de France.

Votre état de santé ou une infirmité sérieuse vous empêchent de vous déplacer. Sur demande (écrite), un officier de police judiciaire ou son délégué se déplacera à votre domicile pour établir la procuration. Un certificat médical ou un justificatif de l'infirmité doit être joint à la demande de déplacement à domicile.



QUELS PAPIERS DOIS-JE FOURNIR ?

Un justificatif d'identité (carte nationale d'identité, passeport, permis de conduire...).

Lors de l'établissement de la procuration, un formulaire particulier doit être rempli où sont précisées plusieurs informations sur la personne qui votera à votre place (le mandataire) : nom, prénom, adresse, date et lieu de naissance.

Ce formulaire inclut une attestation sur l'honneur mentionnant le motif de l'empêchement (se reporter aux conditions ci-dessus). Depuis décembre 2003, il n'est plus demandé d'autres pièces justificatives.


DANS QUEL DELAIS ?

Dans le principe, une procuration peut-être établie jusqu’à la veille du scrutin, mais avec le risque pour le mandataire de ne pas pouvoir voter si la commune ne l'a pas reçue à temps.

Pour tenir compte du délai d’acheminement de la procuration vers la maire et son traitement, les démarches doivent être effectuées le plus possible.


QUELLE EST LA DUREE DE VALIDITE DE LA PROCURATION ?

Valable pour une seule élection, mais pour les deux tours de scrutin, elle peut aussi être établie pour une durée maximale d'un an à compter de sa date d'établissement.
(Si vous souhaitez une durée plus courte, indiquer le sur le formulaire).

Si vous résidez hors de France, il est possible de donner procuration pour un scrutin ou pour une durée maximale de 3 ans.

PUIS-JE LA RESILIER ?

A tout moment selon la même procédure que celle de son établissement :
•    soit pour changer de mandataire,
• soit pour voter directement (en justifiant de son identité, sous réserve que son mandataire ne se soit pas déjà présenté).
Dans les deux cas, il est fortement recommandé d'informer votre mandataire de ce changement, pour éviter toute complication.

COMMENT SE DEROULE LE VOTE ?

Le jour du scrutin, votre mandataire se présente à votre bureau de vote, muni d'une pièce justifiant de son identité, et vote à votre nom.

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72h pour gagner

72h

Chère Amie, Cher Ami,

A 19 jours du premier tour de l'élection présidentielle, j’ai plus que jamais besoin de vous et de votre mobilisation pour donner un nouvel élan à la France et pour rendre possible, avec vous, les changements dont notre pays a besoin.

Beaucoup de nos concitoyens n’ont pas encore aujourd’hui fait leur choix de vote pour le premier tour. Les 3 derniers jours précédant le dimanche 22 avril, date du 1er tour, seront donc décisifs. Pour convaincre le maximum de Français de l’importance du vote en faveur de nos idées, j’ai donc souhaité que s’organise pour les 72 dernières heures avant le scrutin, une formidable mobilisation de toutes celles et de tous ceux qui me soutiennent. Je vous invite à y participer.

Je vous demande donc de consacrer de une à trois journées - les 19, 20 et 21 avril prochains - pour la victoire de notre projet en vous inscrivant sur ce formulaire.

Vous participerez ainsi très activement et concrètement à ma campagne, au moment où j’en aurai le plus besoin. En vous inscrivant et en agissant à mes côtés au sein de l’équipe « 72 heures pour gagner », vous ferez partie de l’élan populaire tourné vers notre victoire commune.

Je compte sur vous.

Bien amicalement,

Signature

    --INSCRIPTION --

 

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Chirac soutiens enfin Sarkozy

Enfin, il etait temps qu'il l'annonce. L'actuel Président de la République a annoncé Mercredi son soutien a notre candidat Nicolas Sarkozy.

Lors de son allocution télévisée, le Président de la République a saluer les resultats de Nicolas Sarkozy en temps que Ministre de l'Intérieur, et a annoncé que ce dernier quitterais ces fonctions a partir de Lundi 26 Mars, pour se consacrer entierement a l'élèction présidentielle.

Meme si le Président l'a dit du bout des levres, cela nous reconforte quand meme un peu de savoir que Chirac soutien Sarkozy, bien que le contraire aurait été bizarre.

"Chirac soutient enfin Sarkozy", par The New York Times (Etats-Unis, 22/03)

"Mettant de côté ses sentiments personnels pour le bien de son parti, Jacques Chirac a reconnu mercredi son plus ancien rival, Nicolas Sarkozy, comme la personne la mieux placée pour lui succéder au poste de président de la République française.
Ce soutien, attendu depuis longtemps, s'est fait sans bruit, passion ou enthousiasme. Les deux hommes ne sont pas apparus ensemble au Palais de l'Elysée ou sur un podium de campagne. Au lieu de cela, M. Chirac a annoncé sa décision dans une courte déclaration télévisée depuis l'Elysée, après la réunion avec M. Sarkozy. M. Chirac l'a justifiée par sa fidélité au parti de gouvernement, qu'il a lui-même fondé en 2002 - l'Union pour un mouvement populaire, connu par son acronyme français, UMP -, et non comme un engagement personnel en faveur du candidat. (…) M. Chirac et M. Sarkozy incarnent deux visions opposées de l'avenir de la France. M. Chirac est un conservateur respectueux de la tradition de Gaulliste, qui croit que la France et l'Allemagne devraient être de facto les leaders d'une Europe forte, capable de contrebalancer l'hégémonie américaine. M. Sarkozy est davantage pro-américain et moins intéressé par l'axe français-allemand traditionnel. (...) "

Dans le meme temps nous avons appris egalement que Xavier Bertrand, actuel ministre de la santé,quitterais lui aussi le gouvernement lundi 26 mars. Rappelons que Xavier Bertrand est le porte parole de la campagne de Nicolas Sarkozy tout comme Rachida Dati.

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LES JEUNES AU ZENITH DIMANCHE

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